En baisse de – 4,25% depuis le 1er janvier, l’eurodollar cote 1,0462 ce lundi matin vers 8 heures sur le marché continu.

La devise unique est loin de son plus haut 2016 à 1,16 $, mais proche d’un plus bas à 1,03 $.

L’euro paie son différentiel de taux avec les Etats-Unis, mais aussi les incertitudes économiques qui obscurcissent l’avenir : situation des banques italiennes et allemandes préoccupantes, négociations sur le Brexit, perspectives de croissances atones, etc.

Pour un euro, on a : 122 yens, 0,83 GBP, 1,07 CHF, 1,39 CAD, 7,28 CNY et 64 RUB.

Semaine riche en actualité pour le dollar : les États-Unis s’apprêtent à publier les chiffres sur la croissance économique au 4ème trimestre et différentes statistiques, dont les commandes de biens durables. Ce lundi matin, le billet vert cède un peu de terrain alors que les grands électeurs vont – sauf surprise – porter le candidat républicain à la présidence des Etats-Unis.

En changeant un euro, on obtient : 0,95 euro, 117 yens, 0,80 GBP, 1,02 CHF, 1,33 CAD, 6,94 CNY et 61 RUB.

Le mystère de la chute de 9% dont la livre a été victime le 9 octobre dernier a été éclairci : la « panique » d’un banquier de Citigroup basé à Tokyo serait à l’origine de ce « flash krach », dû à la multiplication d’ordres de vente injustifiés. C’est vendredi que l’Angleterre publiera une estimation de la croissance insulaire au troisième trimestre.

La contrepartie d’une livre est de 1,19 euros, 1,24 dollar, 1,28 CHF, 9,67 CNY et 77 RUB.